Des souvenirs qu’on déménage et qu’on ne peut pas raconter.
C’est la phrase entière dans laquelle je me retrouve dans cette chanson de Julien Clerc, Double enfance, qui parle des enfants du divorce, ballotés entre deux familles, ce qui présente certains avantages, comme il le chante : Deux fois plus de cadeaux, parfois deux maisons, une famille élargie grâce aux nouveaux beaux-parents, plus de vacances puisque juillet c’est avec Maman et août avec Papa, et l’inverse l’année suivante.
Mais ce qu’il y dit aussi, c’est la difficulté de parler de ce qu’on a vécu avec l’autre parent et son nouveau conjoint quand on revient dans l’autre maison, et qu’il ne faut surtout pas avouer qu’on s’est amusé, qu’on a découvert des activités différentes, qu’on a rencontré des gens intéressants, qu’on a vécu, en somme !
Double enfance – Paroles de Maxime Le Forestier – Musique de Julien Clerc (2005)
En réponse au Daily prompt du 2 février 2016 : This is your song
Ce Prompt me rappelle d’ailleurs la superbe chanson d’Elton John, Your song, à laquelle se rattachent de nombreux souvenirs. Mais ce sera l’occasion d’un autre billet !
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